Afin de modérer le modérer le battage médiatique de ce week-end sur l'Afghanistan et les qualifications exagérées de catastrophe intolérable nécessitant de remettre en cause la présence des forces occidentales là-bas, il aurait convenu que les informations délivrées par J-D M sur son blog soit plus reprises, à savoir :
"En Afghanistan, la frappe aérienne a causé la mort 54 personnes, parmi lesquelles figuraient 6 civils, dont un enfant, a déclaré à l'AFP le gouverneur de la province, Mohammad Omar. Parmi les morts, "48 hommes ont été identifiés comme armés, tandis que le reste était des civils". omme toujours, ces chiffres doivent être pris avec précaution, mais ils minorent sérieusement l'accusation initiale de 90 morts, dont de nombreux civils.
Voir son Post intégral ici.
Une fois encore, dans notre société du risque, risk-averse et prompte à sur-réagir sans se démentir par la suite, on voit bien quelle conséquences peuvent avoir les fébrilités médiatiques jusque dans la conduite de la guerre.
C'est certainement ce qui caractérise le plus les guerres actuelles : elles se déroulent dans une société post-moderne qui est celle du risque et qui impacte considérablement la manière de les conduire.
J'y reviendrai très prochainement.
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